« Pour nous, le Projet BNQ 21000 constitue une formule gagnante favorisant la mobilisation des acteurs d’un même secteur autour d’un objectif commun. Nos membres engagés dans ce projet pilote bénéficient d’un exercice efficace, rentable et essentiel dont les effets positifs rejailliront assurément sur l’ensemble de nos membres. »

 

Andrée Courteau
Présidente-directrice générale
TOURISME LAVAL 

 

Évolution du projet pilote

 

Principaux constats :

Voici les principaux constats que nous pouvons tirer de l'expérimentation du projet pilote des membres de Tourisme Laval: 

POINTS FORTS:

  • Amorce du changement de culture;
  • Respect du rythme et de la situation de l’entreprise;
  • Favorisation du dialogue avec les différentes parties prenantes interpellées;
  • Adhésion des joueurs clés de l’entreprise au DD et à la démarche: un incontournable;
  • Effet de groupe: une source de motivation importante;
  • Grille d’autoévaluation des enjeux et le rapport diagnostique: outils mobilisateurs. 

À PRENDRE  EN CONSIDÉRATION:

  • Besoin d'un encadrement pour assurer la poursuite de la mise en œuvre;
  • Accent à mettre sur la sensibilisation au DD et ses effets pour faciliter l’adhésion;
  • Allègement des outils et vulgarisation des textes.

 


Que pensent  les entreprises du rapport diagnostique fourni par les consultants? 

  • Le diagnostic est une façon structurée de communiquer à l’interne ce que l’on fait, ce que l’on veut faire; on y voit ainsi plus clair.
  • Il y a beaucoup de bonnes idées dans le rapport, cela nous met en piste pour agir.
  • Le diagnostic peut nous révéler des écarts importants entre notre perception et celle de nos parties prenantes.
  • À la lecture du rapport, on devient davantage conscient de nos grands enjeux et de l’intérêt des parties prenantes par rapport à ces enjeux.
  • La démarche ferme la boucle de la réflexion stratégique.

 


Que pensent les entreprises de la Démarche BNQ 21000 en général?

  • La démarche s’intègre bien à notre quotidien, c’est une continuité de ce que nous faisons.  Cela nous permet de mieux comprendre et de mettre en œuvre les améliorations  que nous avons à apporter pour travailler davantage dans une perspective DD.

  • La démarche permet un temps d’arrêt pour réaliser tout ce que nous avons fait à ce jour.

  • La démarche structure l’ensemble des gestes à poser.

  • La démarche nous fait prendre conscience de l’incidence de nos décisions sur l’environnement et sur nos employés.

  • La démarche sensibilise l’ensemble des employés au développement durable et à l’importance de s’en préoccuper.


Que pensent les acteurs financiers ou influents du comité consultatif rattachés au Projet pilote BNQ 21000?

  • La démarche a un effet positif dans la région. Plusieurs communications par les médias permettent de faire rayonner le projet pilote. 

  • La destination de Laval, comme produit touristique, devrait connaitre une longueur d’avance sur les autres régions. Le développement durable devient un avantage concurrentiel.

  • L’importance d’une approche régionale est un facteur gagnant et générateur.

  • Les acteurs financiers ou influents sont convaincus que cela aura un effet sur la rentabilité et la durabilité des entreprises.


 

Que pensent les consultants du Projet pilote et de la Démarche BNQ 21000?

 

« Les projets pilots de la Démarche BNQ 21000 sont, selon moi, une initiative aussi ambitieuse que nécessaire. Pour demeurer concurrentiel au XXIe siècle, les entreprises et les organisations devront s'inscrire dans une perspective de développement durable. Qu'une douzaine d'entreprises de l'industrie touristique de Laval s'engagent dans un tel processus montre, à mon avis, le dynamisme de la région et des décideurs. 

« Depuis plus d'un an maintenant, mon expérience avec la démarche m'apprend que la plupart des organisations ont déjà des éléments importants en place en matière de développement durable. En réalité, elles sont meilleures que ce qu'elles ne le croient. Aussi, la démarche du BNQ 21000 permet-elle de sensibiliser les parties prenantes non seulement aux notions environnementales, mais surtout à l'intégration de ces préoccupations aux activités plus traditionnelles des organisations, comme la gouvernance, les conditions de travail et la productivité.  

« Sur le plan personnel, ma participation au projet pilote m'a permis de réaliser qu'il faut apprendre à marcher avant d'apprendre à courir. Parce que le BNQ 21000 est une démarche encore jeune, il reste des ajustements à faire afin de rendre la norme fonctionnelle pour le plus grand nombre d'organisations. Mais c'est justement ce que permettent de faire les projets pilotes. »

 

Jean-Sébastien Trudel, B. Adm., B. Sc. soc., M. Env.
Expert-conseil, gestion du cycle de vie et développement durable

 

 


 

(extraits de commentaires reçus dans le cadre de rencontres avec les entreprises participantes au projet pilote Tourisme Laval, les consultants attitrés et les acteurs financiers ou influents qui s’y rattachent)